Lettre
ouverte à M. LAMY.
Palaisien depuis
cinquante ans, je suis scandalisé par l'attitude qui fût
la votre le samedi 8 avril 2006 et je tiens par cette lettre ouverte
à la dénoncer auprès de tous les palaisiens.
Ce samedi un rendez
vous à 12h30 m'avait été proposé par votre
secrétariat ; arrivé à 12h15, vous avez refusé
de me recevoir, sans aucune raison.
Sur mon refus de partir avant l'heure du rendez-vous vous avez fait
appel à la Police, et c'est entre deux policiers de la Police
Nationale que j'ai du sortir par une porte dérobée afin
que l'incident ne soit pas remarqué.
Je pense que votre
décision de ne pas me recevoir et d'avoir fait appel à
la Police n'est pas digne d'un Maire et encore moins d'un Député
qui se proclame à l'écoute de ses concitoyens à
longueur des colonnes dans le journal municipal d'informations.
Sachez que j'étais
venu vous faire part des trois faits suivants :
- le cambriolage à mon domicile en janvier 2005 où je
me suis trouvé face à deux individus à 3h du matin,
- le vol de ma carte bleue par "collet marseillais" le lundi
27 mars à l'extérieur de la banque par deux malfrats,
- et enfin l'installation d'une banderole, sans doute payée par
les contribuables, sur le fronton de la mairie "Non à la
précarité, non au CPE" ce qui n'est pas l'avis de
tous les palaisiens.
J'estime avoir été
victime et suis ulcéré d'avoir été traité
comme un vulgaire malfaiteur, un indésirable dans ma propre cité.
Et comment pouvez
vous avoir osé me dire que j'ai violé votre domicile alors
que j'étais allé sonner une semaine avant à votre
porte où votre épouse m'a d'ailleurs reçu cordialement.
Je ne sais si vous
connaissez le poids des mots mais pour un Député-Maire,
votre comportement est parfaitement inadmissible et indigne de la fonction
que vous exercez.
G.K.
Quartier de Lozère