chronique de septembre
2006
Les vacances sont
achevées pour beaucoup d'entre nous. La rentrée est imminente.
Au nom de cette rentrée scolaire, l'autorité municipale
avait projeté une opération tout à fait
particulière sur un terrain communal cotoyant la mini
crêche de Lozère. Il s'agissait ni plus ni moins d'autoriser
un séjour de trois caravanes sur ledit terrain ; ces caravanes
occupées par trois familles non résidentes mais ayant
des enfants scolarisés à Palaiseau ou à Villebon.
Ce projet accepté
dans la hâte par un conseil de quartier de Lozère bizarrement
bienveillant, fait l'objet d'une opposition bien compréhensible
des membres des associations locales. Comment peut-on avoir envisagé
une seconde de créer un précédent aussi
grave dans des conditions administratives ou réglementaires aussi
laxistes (* )? Nous sommes atterrés par un tel manque de réflexion.
Aux dernières
nouvelles, la municipalité aurait fait marche arrière
sous la pression pugnace et efficaces des associations locales.
* l'installation
de caravanes n'est pas autorisée par le Plan Local d'Urbanisme
sur cette zone